Les portes paroles du candidat, Mohamed Cheikh El Ghazouani, a fait face à la presse à J+5, pour exposer son programme. Abdallazh ould Kebd, pour l’arabe, et Aissata Lam pour le français, ont réalisé l’exercice dans un réceptif hôtelier de Nouakchott, devant une grosse assistance. Les deux membres du staff de campagne du président sortant et candidat à sa succession, ont décliné un programme à travers cinq (5) leviers. Le premier vise « un Etat de droit solide et une gouvernance rénovée ». Le deuxième levier a pour objectif « une économie performante, Eco- durable sur le chemin de l’émergence ». Le troisième concerne « le développement du capital humain, en particulier la jeunesse, comme fer de lance de la Mauritanie de demain ». Le quatrième levier a trait à « l’inclusion sociale, comme gage de cohésion et d’unité ». Et le cinquième, comporte une dimension sous régionale, régionale et internationale, avec la diplomatie sécuritaire « d’un Etat sûr, capable de faire face aux défis et aléas géopolitiques, jouant un rôle d’acteur majeur de la paix et la stabilité ». Le premier levier relatif « à un état solide et une gouvernance rénovée » va permettre d’engager « la réforme des institutions, le renforcement de la démocratie et de l’Etat de droit. La réforme de l’administration publique et l’amélioration de la gouvernance. La création d’une Agence Nationale Indépendante de Lutte contre la Corruption. La promotion de la transparence et de la responsabilité dans le secteur public et le lancement d’un dialogue large et inclusif pour convenir d’un nouveau contrat social afin d’améliorer notre modèle démocratique ». Le deuxième levier, axé sur une économie performante, va se traduire par la réalisation de nombreuses infrastructures « construction d’autoroutes reliant la Mauritanie aux axes sous régionaux, régionaux et internationaux. Réalisation d’un chemin de fer et d’un port en eau profonde à Nouadhibou. Construction d’une centrale pour la production de l’électricité à partir du gaz à NDiago et Nouakchott. Renforcement du réseau inter connecté par des lignes Nouakchott-Néma, Nouakchott-Tidjikja, ainsi que Timbedra-Kayes (au Mali). Electrification de 957 localités rurales à travers 7 projets. Fourniture de l’eau potable à toutes les localités de plus de 500 habitants à l’horizon 2030. Construction d’usines de l’eau de mer à Nouakchott et Nouadhibou. Objectif de 80% de couverture Internet en 2030, contre 40% actuellement, amélioration des capacités de stockage et de transformation des produits de la pêche pour traiter 80% de la production. Elaboration d’une politique nationale des industries extractives ».
Le troisième levier porte sur le développement du capital humain, en particulier la jeunesse, fer de lance de la Mauritanie de demain « augmentation des dépenses du secteur de l’éducation à 5,5% du PIB à l’horizon 2030. Extension de la couverture pré scolaire pour atteindre 50% en 2030. Formation technique et professionnelle ciblant 115.000 jeunes de toutes les régions à l’horizon 2023. Augmentation des capacités d’accueil de l’enseignement supérieur. Création d’hôpitaux régionaux de référence et extension de la couverture de l’assurance-maladie ».
Le quatrième levier, portant sur le volet » inclusion sociale, comme gage de cohésion et d’unité » annonce la poursuite des efforts de l’écosystème TAAZOUR : Cheyla pour l’accès aux services de base, Al Baraka, pour une plus grande inclusion économique, le financement d’Activités Génératrices de Revenus, Dari pour l’habitat social, Takavoul pour la protection sociale et le maintien du pouvoir d’achat, Temwine pour des prix abordables ».
Le levier 5, pour un Etat sûr, capable de faire face aux défis et aléas géopolitiques, insiste sur « le respect de la souveraineté et de l’intangibilité des frontières, les relations de bon voisinage et l’ancrage de la Mauritanie dans l’environnement islamique, arabe et africain ».
Le troisième levier porte sur le développement du capital humain, en particulier la jeunesse, fer de lance de la Mauritanie de demain « augmentation des dépenses du secteur de l’éducation à 5,5% du PIB à l’horizon 2030. Extension de la couverture pré scolaire pour atteindre 50% en 2030. Formation technique et professionnelle ciblant 115.000 jeunes de toutes les régions à l’horizon 2023. Augmentation des capacités d’accueil de l’enseignement supérieur. Création d’hôpitaux régionaux de référence et extension de la couverture de l’assurance-maladie ».
Le quatrième levier, portant sur le volet » inclusion sociale, comme gage de cohésion et d’unité » annonce la poursuite des efforts de l’écosystème TAAZOUR : Cheyla pour l’accès aux services de base, Al Baraka, pour une plus grande inclusion économique, le financement d’Activités Génératrices de Revenus, Dari pour l’habitat social, Takavoul pour la protection sociale et le maintien du pouvoir d’achat, Temwine pour des prix abordables ».
Le levier 5, pour un Etat sûr, capable de faire face aux défis et aléas géopolitiques, insiste sur « le respect de la souveraineté et de l’intangibilité des frontières, les relations de bon voisinage et l’ancrage de la Mauritanie dans l’environnement islamique, arabe et africain ».