Cette soirée a été animée par Abdelsalam Mohamed Saleh, ministre de l’économie et du développement durable et le Professeur Wane Birane, avec Moussa Fall dans le rôle de modérateur.
Les débats ont duré plusieurs heures d’horloge, devant une assistance composée d’une belle brochettes de cadres, issus des rangs de tous les soutiens de la candidature du président en exercice et prétendant à un deuxième mandat, parmi lesquels notamment Mohamed Jemil Mansour, président du Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), ainsi que plusieurs responsables de son mouvement.
En présentant les grandes lignes du programme du candidat pour la période 2024/2029, Abdelsalam Mohamed Saleh a entamé son discours par les réalisations du mandat en cours, dans les domaines économique et social, grâce à l’agence « Taazour » et ses différentes actions, complétées par les interventions traditionnelles du Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA).
Entre le présent et l’avenir, ce cadre, spécialiste de l’économie, a envoyé un message fort aux partisans de Ghazouani, appelés « à être fiers de ce qui s’est passé au cours du premier mandant et à afficher confiance pour l’avenir par rapport à un changement de paradigme transformant le pays, qui va passer du statut d’exportateur de matières brutes, à celui de la transformation, grâce à de nouvelles opportunités offertes par les mines et l’énergie».
Pour sa part, le Pr Birane Wane a abordé « les enjeux liés aux différentes interrogations stratégiques du programme Ghazouani, fondé sur une analyse du contexte.
Il s’agit d’une projection vers l’horizon 2030, avec un fil rouge « l’enjeu capital de la transition démographique : baisse du taux de fécondité, explosion du taux d’urbanisation » et tous les défis engendrés par une telle évolution par rapport au référentiel de politique publique.
Le regard croisé du Pr Wane a également mis en lumière « un contexte politique apaisé, marqué par une concertation permanente au sujet : fonctionnement interne de la démocratie, financement et régulation des élections… ».
La camera du Pr Wane a aussi balayé les aspects relatifs « à la lisibilité liée à la représentation parlementaire (discipline des élus vis-à-vis des partis), accessibilité à la justice, les marqueurs sociaux liés au passé (esclavage ou séquelles), éléments qui renvoient à des inégalités de naissance.
Le problème du vivre ensemble, les blessures du passé, notamment le passif humanitaire, la tribu qui investit et travestit le politique, devenant un facteur de mal gouvernance ».
Les débats ont duré plusieurs heures d’horloge, devant une assistance composée d’une belle brochettes de cadres, issus des rangs de tous les soutiens de la candidature du président en exercice et prétendant à un deuxième mandat, parmi lesquels notamment Mohamed Jemil Mansour, président du Front pour la Citoyenneté et la Justice (FCJ), ainsi que plusieurs responsables de son mouvement.
En présentant les grandes lignes du programme du candidat pour la période 2024/2029, Abdelsalam Mohamed Saleh a entamé son discours par les réalisations du mandat en cours, dans les domaines économique et social, grâce à l’agence « Taazour » et ses différentes actions, complétées par les interventions traditionnelles du Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA).
Entre le présent et l’avenir, ce cadre, spécialiste de l’économie, a envoyé un message fort aux partisans de Ghazouani, appelés « à être fiers de ce qui s’est passé au cours du premier mandant et à afficher confiance pour l’avenir par rapport à un changement de paradigme transformant le pays, qui va passer du statut d’exportateur de matières brutes, à celui de la transformation, grâce à de nouvelles opportunités offertes par les mines et l’énergie».
Pour sa part, le Pr Birane Wane a abordé « les enjeux liés aux différentes interrogations stratégiques du programme Ghazouani, fondé sur une analyse du contexte.
Il s’agit d’une projection vers l’horizon 2030, avec un fil rouge « l’enjeu capital de la transition démographique : baisse du taux de fécondité, explosion du taux d’urbanisation » et tous les défis engendrés par une telle évolution par rapport au référentiel de politique publique.
Le regard croisé du Pr Wane a également mis en lumière « un contexte politique apaisé, marqué par une concertation permanente au sujet : fonctionnement interne de la démocratie, financement et régulation des élections… ».
La camera du Pr Wane a aussi balayé les aspects relatifs « à la lisibilité liée à la représentation parlementaire (discipline des élus vis-à-vis des partis), accessibilité à la justice, les marqueurs sociaux liés au passé (esclavage ou séquelles), éléments qui renvoient à des inégalités de naissance.
Le problème du vivre ensemble, les blessures du passé, notamment le passif humanitaire, la tribu qui investit et travestit le politique, devenant un facteur de mal gouvernance ».