Cet événement tragique de l’histoire, est un acte commis sur des militaires originaires de différents territoires africains (tirailleurs sénégalais), ayant participé à la deuxième guerre mondiale, dont certains avaient été fait prisonniers par l’armée allemande, démobilisés et revenus sur le continent africain, qui réclamaient le paiement de leurs soldes, froidement assassinés par les troupes coloniales et les gendarmes français, le 01 décembre 1944.
Ces crimes, perpétrés dans la banlieue de Dakar, ont fait de 35 à plusieurs centaines de morts, suivant différentes versions, non encore authentifiées, faute d’une enquête sérieuse à imputable à l’omerta de l’administration coloniale, au sujet de l’une des pages les plus sombres et les plus ingrates, de l’action de la France en Afrique, dont le résultat est un massacre collectif contre les soldats de l’empire.
Plusieurs chefs d’états africains ont fait le déplacement de Dakar, pour commérer le douloureux souvenir de cette page ubuesque des relations entre la France et ses ex colonies africaines, dont la localité de Thiaroye est le symbole de la mémoire vive, inscrite en lettres de sang.
Ces crimes, perpétrés dans la banlieue de Dakar, ont fait de 35 à plusieurs centaines de morts, suivant différentes versions, non encore authentifiées, faute d’une enquête sérieuse à imputable à l’omerta de l’administration coloniale, au sujet de l’une des pages les plus sombres et les plus ingrates, de l’action de la France en Afrique, dont le résultat est un massacre collectif contre les soldats de l’empire.
Plusieurs chefs d’états africains ont fait le déplacement de Dakar, pour commérer le douloureux souvenir de cette page ubuesque des relations entre la France et ses ex colonies africaines, dont la localité de Thiaroye est le symbole de la mémoire vive, inscrite en lettres de sang.