Le document condamne vivement des actes « d’agression systématique, portant atteinte à la liberté de citoyens, défenseurs des droits humains et lanceurs d’alertes ».
Dans les détails l’ONG abolitionniste, fustige la méthode suivant laquelle le militant dont l’identité n’est divulgué, a été enlevé « placé dans un endroit secret, d’où il est sorti méconnaissable, juste avant l’aube, après avoir été obligé de faire des aveux avilissants que les renseignements généraux ont largement diffusé sur les Réseaux Sociaux (WhatsApp, Face book, Tik Tok) ».
Le communiqué condamne ces arrestations comme « des kidnappings » opérés avec l’instrumentalisation des forces de l’ordre, dont certains trouvent des suites judiciaires grâce à la complaisance des magistrats, debout et même parfois aussi, créant une chaîne « de l’arbitraire » qui porte gravement atteinte à une liberté fondamentale, celle du droit à l’expression de son opinion, pour tout citoyen.
Dans les détails l’ONG abolitionniste, fustige la méthode suivant laquelle le militant dont l’identité n’est divulgué, a été enlevé « placé dans un endroit secret, d’où il est sorti méconnaissable, juste avant l’aube, après avoir été obligé de faire des aveux avilissants que les renseignements généraux ont largement diffusé sur les Réseaux Sociaux (WhatsApp, Face book, Tik Tok) ».
Le communiqué condamne ces arrestations comme « des kidnappings » opérés avec l’instrumentalisation des forces de l’ordre, dont certains trouvent des suites judiciaires grâce à la complaisance des magistrats, debout et même parfois aussi, créant une chaîne « de l’arbitraire » qui porte gravement atteinte à une liberté fondamentale, celle du droit à l’expression de son opinion, pour tout citoyen.