Ce constat est particulièrement illustré par les échanges acerbes et de plus en plus fréquents, entre les camps des ex candidats à l’élection présidentielle du 29 juin 2024, le député et leader abolitionniste, Biram Dah Abeid et celui de maitre Elide Mohamed MBareck, dont les coalitions se tirent dessus à bout portant, au sujet de l’appréciation à donner à l’arrivée de Moctar Diaye aux commandes de la primature.
Une polémique qui enfle, dans un contexte post élection présidentielle dont la gestion politique devait pourtant pousser la mouvance à taire ses divergences, faire de son unité une priorité, un préalable, avant l’ouverture de tout dialogue avec le pouvoir, en perspective des prochaines échéances électorales. Une action concertée, un travail en synergie, pour se donner la chance de peser sur l’avenir d’une démocratie en difficultés, du fait de la conduite unilatérale du processus par une administration totalement acquise au pouvoir.
D’où la réaction de cet internaute, qui déplore des piques « venues au mauvais moment, dans une période pendant laquelle de bonnes volontés se sont engagées pour créer un climat de rapprochement, au sein de la classe politique, particulièrement entre les leaders de l’opposition.
Je suis de ceux qui pensent que le premier dialogue doit se faire d’abord au sein de cette opposition, qui s’auto flagelle, avant d’entamer un quelconque soit disant échange avec le pouvoir ».
Comment créer les perspectives d’élections transparentes, libres et démocratiques, avec un espoir de consolidation des maigres acquis dans un pays dont le parcours est hanté par des votes et des victoires entachées de fraude depuis 1992 ? Une véritable question existentielle dans un contexte ou le fichier électoral n’a jamais l’objet d’un audit suivant une démarche inclusive.
Il faut trouver des constantes consensuelles au sein de la mouvance opposition, avant d’aborder l’étape des concertations avec le pouvoir.
En Afrique, l’approfondissement du processus démocratique est entravé par des contraintes.
Des sortes de variables dont la nature change suivant les contextes, les pays et les peuples. Les leaders de l’opposition doivent faire preuve d’une fine intelligence pour gérer ces différents aspects et contraindre les tenants du pouvoir, à des concessions majeures de nature entraîner une incidence significative sur les prochaines élections législatives, régionales et municipales, en plus des enjeux de fond, qui conditionnent l’avenir du pays.
Une polémique qui enfle, dans un contexte post élection présidentielle dont la gestion politique devait pourtant pousser la mouvance à taire ses divergences, faire de son unité une priorité, un préalable, avant l’ouverture de tout dialogue avec le pouvoir, en perspective des prochaines échéances électorales. Une action concertée, un travail en synergie, pour se donner la chance de peser sur l’avenir d’une démocratie en difficultés, du fait de la conduite unilatérale du processus par une administration totalement acquise au pouvoir.
D’où la réaction de cet internaute, qui déplore des piques « venues au mauvais moment, dans une période pendant laquelle de bonnes volontés se sont engagées pour créer un climat de rapprochement, au sein de la classe politique, particulièrement entre les leaders de l’opposition.
Je suis de ceux qui pensent que le premier dialogue doit se faire d’abord au sein de cette opposition, qui s’auto flagelle, avant d’entamer un quelconque soit disant échange avec le pouvoir ».
Comment créer les perspectives d’élections transparentes, libres et démocratiques, avec un espoir de consolidation des maigres acquis dans un pays dont le parcours est hanté par des votes et des victoires entachées de fraude depuis 1992 ? Une véritable question existentielle dans un contexte ou le fichier électoral n’a jamais l’objet d’un audit suivant une démarche inclusive.
Il faut trouver des constantes consensuelles au sein de la mouvance opposition, avant d’aborder l’étape des concertations avec le pouvoir.
En Afrique, l’approfondissement du processus démocratique est entravé par des contraintes.
Des sortes de variables dont la nature change suivant les contextes, les pays et les peuples. Les leaders de l’opposition doivent faire preuve d’une fine intelligence pour gérer ces différents aspects et contraindre les tenants du pouvoir, à des concessions majeures de nature entraîner une incidence significative sur les prochaines élections législatives, régionales et municipales, en plus des enjeux de fond, qui conditionnent l’avenir du pays.