Ce document a été signé par le ministre de l’intérieur et de la décentralisation, Ahmed ould Mohamed Lemine, et la commissaire aux affaires intérieures de l’UE, Mme Yiva Jahansson.
Il s’agit d’un accord « non contraignant, qui fait office de cadre de référence en la matière, et s’inscrit dans la dynamique croissante qui caractérise les relations entre les 2 partenaires.
Plusieurs rencontres ont été organisées en amont de la signature de celui-ci, parmi lesquelles celle ayant réuni le président Mohamed Cheikh El Ghazouani, le premier espagnole, Pedro Sanchez et la présidente de la Commission de l’Union Européenne (UE), Mme Ursula Van Der Leyen.
Ces concertations ont facilité les travaux ayant permis la conception d’une déclaration commune, sur la gestion de l’immigration.
Le partenariat stratégique entre la Mauritanie et l’Union Européenne (UE) comporte plusieurs volets : économique, diplomatique, migration régulière de mauritaniens vers l’Europe, lutte contre la migration clandestine, gestion de la question des réfugiés » rappelle le ministre de l’intérieur, Ahmed ould Mohamed Lemine.
Pour sa part, YivaJansson, commissaire aux affaires extérieures de l’UE, a expliqué que le partenariat Bruxelles et Nouakchott, comprend un appui au financement de la problématique sur la migration, un défi mondial qui préoccupe tous les pays et un fléau qui requiert une action à la fois au niveau mondial et global, en s’attaquant aux causes profondes : manque d’emplois, absence d’accès aux financements en faveur des jeunes, lutte contre le crime organisé et le trafic d’êtres humains… ».
L’opposition, la société civile et les usagers des Réseaux Sociaux dénoncent la perspective de signature d’un accord Mauritanie/UE comme « une trahison » depuis plusieurs semaines.
Au-delà de la polémique autour de cette question, le traitement dont elle fait l’objet dans les discours des 2 parties reste encore très vague et suscite de nombreuses interrogations, après la cérémonie de signature.
La Mauritanie va-t-elle recevoir des déboutés du droit d’asile et des expulsés de l’espace européen ? Quelle en serait la contre partie ? Quel serait le nombre de ces individus ? Quel est leur statut ? De quels droits jouiraient ces populations sur le territoire national?
Un véritable chapelet d’interrogations.
Il s’agit d’un accord « non contraignant, qui fait office de cadre de référence en la matière, et s’inscrit dans la dynamique croissante qui caractérise les relations entre les 2 partenaires.
Plusieurs rencontres ont été organisées en amont de la signature de celui-ci, parmi lesquelles celle ayant réuni le président Mohamed Cheikh El Ghazouani, le premier espagnole, Pedro Sanchez et la présidente de la Commission de l’Union Européenne (UE), Mme Ursula Van Der Leyen.
Ces concertations ont facilité les travaux ayant permis la conception d’une déclaration commune, sur la gestion de l’immigration.
Le partenariat stratégique entre la Mauritanie et l’Union Européenne (UE) comporte plusieurs volets : économique, diplomatique, migration régulière de mauritaniens vers l’Europe, lutte contre la migration clandestine, gestion de la question des réfugiés » rappelle le ministre de l’intérieur, Ahmed ould Mohamed Lemine.
Pour sa part, YivaJansson, commissaire aux affaires extérieures de l’UE, a expliqué que le partenariat Bruxelles et Nouakchott, comprend un appui au financement de la problématique sur la migration, un défi mondial qui préoccupe tous les pays et un fléau qui requiert une action à la fois au niveau mondial et global, en s’attaquant aux causes profondes : manque d’emplois, absence d’accès aux financements en faveur des jeunes, lutte contre le crime organisé et le trafic d’êtres humains… ».
L’opposition, la société civile et les usagers des Réseaux Sociaux dénoncent la perspective de signature d’un accord Mauritanie/UE comme « une trahison » depuis plusieurs semaines.
Au-delà de la polémique autour de cette question, le traitement dont elle fait l’objet dans les discours des 2 parties reste encore très vague et suscite de nombreuses interrogations, après la cérémonie de signature.
La Mauritanie va-t-elle recevoir des déboutés du droit d’asile et des expulsés de l’espace européen ? Quelle en serait la contre partie ? Quel serait le nombre de ces individus ? Quel est leur statut ? De quels droits jouiraient ces populations sur le territoire national?
Un véritable chapelet d’interrogations.