Les activités de la grande manifestation ont été lancées ce matin au premier Centre International des Conférences, avec les ministres, les hauts fonctionnaires, les experts, les partenaires techniques et financiers, répartis en plusieurs panels.
Ce forum de haut niveau, enregistre la participation de plusieurs chefs d’états et de gouvernements, des ministres de l’éducation nationale, des ministres des finances, de la présidence de l’Union Africaine (UA), des ministres chargés de la jeunesse et du développement des compétences, des ministres chargés de la promotion du genre, mais aussi les représentants d’institutions telles que les Communautés Economiques Régionales (CER).
La rencontre de Nouakchott intervient dans un contexte marqué par des progrès en matière d’éducation sur le continent, mais aussi des défis portant sur des enjeux vitaux, dont la prise en charge conditionne l’avenir du continent.
En effet, 100 millions de jeunes n’ont pas accès au service de base de l’éducation et ce chiffre pourrait doubler au cours des prochaines années, si rien n’est fait pour combler certains déficits liés au manque d’infrastructures, le déficit de financement, le manque d’inclusion, la forte déperdition scolaire, surtout chez les filles et les communautés vulnérables.
Les assises de Nouakchott ont pour objectifs « de reconnaitre et apprécier l’état actuel de la mise en œuvre et des progrès réalisés par les états membres de l’Union Africaine (UA), par rapport aux engagements et décisions prises pour transformer l’éducation en Afrique au cours des dernières années, y compris, mais sans s’y limiter, le plan d’action du Sommet sur la Transformation de l’Education (TES) et la déclaration de l’événement parallèle (TEIA), tout en reconnaissant les défis, les cas échéants.
Présenter et plaider en faveur de la mise œuvre à l’échelle continentale de modèles réussis et des solutions innovantes et durables, pour parvenir à une éducation de qualité et équitable sur l’ensemble du continent, afin de répondre aux exigences du 21é siècle en Afrique et au-delà ».
La démarche de l’Union Africaine (UA) vise également « le renforcement du partenariat et de la collaboration, en vue de favoriser le partage des connaissances entre les décideurs politiques, les chercheurs, les éducateurs et les acteurs de la société civile et explorer des mécanismes de financements durables ».
Cette rencontre devrait permettre « une actualisation de l’état de mise en œuvre des décisions et engagements des états de l’UA, un autre engagement fort en faveur du financement et une augmentation de la participation des partenaires au développement dans les clusters de la commission de l’Union Africaine (UA) ».
A l’échelle de la Mauritanie, cette conférence intervient dans un timing marqué par une vive polémique au sujet d’une école républicaine, chahutée par les parents d’élèves, de nombreux syndicats d’enseignants et une partie de la classe politique, pour « son incapacité à absorber » tous les enfants en âge de scolarisation dans le primaire, à cause d’un déficit de ressources humaines, d’infrastructures, d’outils pédagogiques et didactiques, sur la toile de fond d’un système éducatif trainant comme un boulet l’échec récurrent de toutes les réformes dont il a fait l’objet depuis 1967.
Ce forum de haut niveau, enregistre la participation de plusieurs chefs d’états et de gouvernements, des ministres de l’éducation nationale, des ministres des finances, de la présidence de l’Union Africaine (UA), des ministres chargés de la jeunesse et du développement des compétences, des ministres chargés de la promotion du genre, mais aussi les représentants d’institutions telles que les Communautés Economiques Régionales (CER).
La rencontre de Nouakchott intervient dans un contexte marqué par des progrès en matière d’éducation sur le continent, mais aussi des défis portant sur des enjeux vitaux, dont la prise en charge conditionne l’avenir du continent.
En effet, 100 millions de jeunes n’ont pas accès au service de base de l’éducation et ce chiffre pourrait doubler au cours des prochaines années, si rien n’est fait pour combler certains déficits liés au manque d’infrastructures, le déficit de financement, le manque d’inclusion, la forte déperdition scolaire, surtout chez les filles et les communautés vulnérables.
Les assises de Nouakchott ont pour objectifs « de reconnaitre et apprécier l’état actuel de la mise en œuvre et des progrès réalisés par les états membres de l’Union Africaine (UA), par rapport aux engagements et décisions prises pour transformer l’éducation en Afrique au cours des dernières années, y compris, mais sans s’y limiter, le plan d’action du Sommet sur la Transformation de l’Education (TES) et la déclaration de l’événement parallèle (TEIA), tout en reconnaissant les défis, les cas échéants.
Présenter et plaider en faveur de la mise œuvre à l’échelle continentale de modèles réussis et des solutions innovantes et durables, pour parvenir à une éducation de qualité et équitable sur l’ensemble du continent, afin de répondre aux exigences du 21é siècle en Afrique et au-delà ».
La démarche de l’Union Africaine (UA) vise également « le renforcement du partenariat et de la collaboration, en vue de favoriser le partage des connaissances entre les décideurs politiques, les chercheurs, les éducateurs et les acteurs de la société civile et explorer des mécanismes de financements durables ».
Cette rencontre devrait permettre « une actualisation de l’état de mise en œuvre des décisions et engagements des états de l’UA, un autre engagement fort en faveur du financement et une augmentation de la participation des partenaires au développement dans les clusters de la commission de l’Union Africaine (UA) ».
A l’échelle de la Mauritanie, cette conférence intervient dans un timing marqué par une vive polémique au sujet d’une école républicaine, chahutée par les parents d’élèves, de nombreux syndicats d’enseignants et une partie de la classe politique, pour « son incapacité à absorber » tous les enfants en âge de scolarisation dans le primaire, à cause d’un déficit de ressources humaines, d’infrastructures, d’outils pédagogiques et didactiques, sur la toile de fond d’un système éducatif trainant comme un boulet l’échec récurrent de toutes les réformes dont il a fait l’objet depuis 1967.