Les princes qui gouvernent l’Afrique ont pris la fâcheuse habitude de couper l’Internet à la moindre alerte « pour résoudre les problèmes de sécurité et d’ordre public ».
Quel est le niveau d’efficacité de cette forme de censure ? Une question dont la réponse ne relève pas de la compétence des usagers et de l’opinion de manière plus générale, car ceux qui gèrent notre sécurité peuvent disposer d’informations inconnues du grand public.
Le régime de Mohamed El Ghazouani se serait-il braqué face aux « dangers » que représentent les partisans du député et leader abolitionniste, Biram Dah Abeid ? Ou à « la capacité de nuisance » concédée à l’ancien président de la République, Mohamed Abdel Aziz, le plus célèbre détenu de Mauritanie ?
Faute de réponse à toutes ces interrogations pour le moment, nous pouvons tout juste constater les dégâts causés par la coupure des données mobiles d’Internet et scruter l’horizon, pour le retour hypothétique d’un service dont la non fourniture impact toutes les activités d’une société de plus en plus tournée vers l’économie numérique.
Une situation qui créé des pertes pouvant être évaluées à quelques centaines de millions de MRU en 2 semaines.
Dans ce contexte, les opérateurs de téléphonie attendent légitimement une « indemnisation » ou « une compensation » sous quelque forme que ce soit de la part de l’Etat, alors que les usagers du service, courent le risque de se retrouver dans la posture « du dindon de la farce ».
Quel est le niveau d’efficacité de cette forme de censure ? Une question dont la réponse ne relève pas de la compétence des usagers et de l’opinion de manière plus générale, car ceux qui gèrent notre sécurité peuvent disposer d’informations inconnues du grand public.
Le régime de Mohamed El Ghazouani se serait-il braqué face aux « dangers » que représentent les partisans du député et leader abolitionniste, Biram Dah Abeid ? Ou à « la capacité de nuisance » concédée à l’ancien président de la République, Mohamed Abdel Aziz, le plus célèbre détenu de Mauritanie ?
Faute de réponse à toutes ces interrogations pour le moment, nous pouvons tout juste constater les dégâts causés par la coupure des données mobiles d’Internet et scruter l’horizon, pour le retour hypothétique d’un service dont la non fourniture impact toutes les activités d’une société de plus en plus tournée vers l’économie numérique.
Une situation qui créé des pertes pouvant être évaluées à quelques centaines de millions de MRU en 2 semaines.
Dans ce contexte, les opérateurs de téléphonie attendent légitimement une « indemnisation » ou « une compensation » sous quelque forme que ce soit de la part de l’Etat, alors que les usagers du service, courent le risque de se retrouver dans la posture « du dindon de la farce ».