La Cour a blanchi son excellence des accusations d’obtention d’avantages injustifiés dans les marchés publics;de détournements ,soustractions ou dissipations de biens par un agent public;de trafic d’influence;:d’abus de fonction et d’entrave au fonctionnement de la justice.
La Cour l’a déclaré coupable d’enrichissement illicite et de blanchiment de capitaux et l’a condamné à cinq(5)années d’emprisonnement ferme et à cinq (5)millions d’ouguiyas.
Le Procureur de la République avait requis la peine de vingt(20)ans de prison.
La presque totalité des biens qui lui étaient imputés à tord ,saisis et gelés pour l’ameublissement du dossier et la diabolisation de l’ex-President, a été restituée à leurs légitimes propriétaires par la Cour.
Enfin , la Cour de Répression des infractions économiques et financières de la République Islamique de Mauritanie,a prononcé à l’encontre de l’ex-President, la perte des droits civiques , une amende égale au double du montant << supposée>> de l’enrichissement illicite et du blanchiment <<allégué >>, ce qui donne raison à La Défense qui a toujours soutenu que l’objectif du procès était de priver l’ex-President de toute possibilité d’un retour sur la scène politique,compte tenue de sa popularité et de ses chances réelles de remporter les élections présidentielles de juin 2024.
La justice n’a pas été au rendez vous, elle a été chassée de son trône par la politique.
Les peuples Africains qui sont épris de justice et de démocratie, risquent de s’enliser dans la boue de l’école Sénégalaise qui a enseigné comment saborder une République,avec la justice comme outils politique.
Le conseil constitutionnel de la République Islamique de Mauritanie, a dans cette affaire dit et jugé,que l’une des dispositions de la loi sur les infractions économiques et financières qui intéressait les acteurs de la chaîne pénale sur les résultats obtenus, n’était pas conforme à la constitution et entachait dans sa rédaction actuelle,l’impartialité et l’indépendance des magistrats.C’était suffisant pour annuler toute la procédure sur le fondement du droit à un procès équitable.
La condamnation n’est donc ni juste ni opportune dans le contexte, parce que les enquêtes policières et judiciaires n’ont pu établir une seule imputation d’un fait criminel ou délictuel a l’encontre de l’ex-President de la République , mais encore,parce que ce dernier a été jugé par une juridiction incompétente pour connaître des actes qu’on lui prête à tord avoir commis dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa fonction présidentielle.
lorsque la politique choisie ses armes dans la loi , elle transforme le prétoire en scène de théâtre et lorsqu’elle parvient à ses fins,la justice reste toujours sur sa faim.
Cire Cledor ly Avicat sans frontières
Membre du collectif de La Défense de l’ex-President de la République Mohamet Ould Abdel Aziz
La Cour l’a déclaré coupable d’enrichissement illicite et de blanchiment de capitaux et l’a condamné à cinq(5)années d’emprisonnement ferme et à cinq (5)millions d’ouguiyas.
Le Procureur de la République avait requis la peine de vingt(20)ans de prison.
La presque totalité des biens qui lui étaient imputés à tord ,saisis et gelés pour l’ameublissement du dossier et la diabolisation de l’ex-President, a été restituée à leurs légitimes propriétaires par la Cour.
Enfin , la Cour de Répression des infractions économiques et financières de la République Islamique de Mauritanie,a prononcé à l’encontre de l’ex-President, la perte des droits civiques , une amende égale au double du montant << supposée>> de l’enrichissement illicite et du blanchiment <<allégué >>, ce qui donne raison à La Défense qui a toujours soutenu que l’objectif du procès était de priver l’ex-President de toute possibilité d’un retour sur la scène politique,compte tenue de sa popularité et de ses chances réelles de remporter les élections présidentielles de juin 2024.
La justice n’a pas été au rendez vous, elle a été chassée de son trône par la politique.
Les peuples Africains qui sont épris de justice et de démocratie, risquent de s’enliser dans la boue de l’école Sénégalaise qui a enseigné comment saborder une République,avec la justice comme outils politique.
Le conseil constitutionnel de la République Islamique de Mauritanie, a dans cette affaire dit et jugé,que l’une des dispositions de la loi sur les infractions économiques et financières qui intéressait les acteurs de la chaîne pénale sur les résultats obtenus, n’était pas conforme à la constitution et entachait dans sa rédaction actuelle,l’impartialité et l’indépendance des magistrats.C’était suffisant pour annuler toute la procédure sur le fondement du droit à un procès équitable.
La condamnation n’est donc ni juste ni opportune dans le contexte, parce que les enquêtes policières et judiciaires n’ont pu établir une seule imputation d’un fait criminel ou délictuel a l’encontre de l’ex-President de la République , mais encore,parce que ce dernier a été jugé par une juridiction incompétente pour connaître des actes qu’on lui prête à tord avoir commis dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de sa fonction présidentielle.
lorsque la politique choisie ses armes dans la loi , elle transforme le prétoire en scène de théâtre et lorsqu’elle parvient à ses fins,la justice reste toujours sur sa faim.
Cire Cledor ly Avicat sans frontières
Membre du collectif de La Défense de l’ex-President de la République Mohamet Ould Abdel Aziz