Cet incident s’est produit « au puits A02, situé à 120 kilomètre au large des côtes, qui n’était pas encore rentré en exploitation.
Dès réception de l’alerte, les autorités mauritaniennes ont ordonné la mise en œuvre immédiate des mesures nécessaires pour maitriser la fuite et limiter les impacts.
Les mêmes mesures ont également été exigées de BP, ainsi que des mises à jour régulières sur l’évolution de la situation ».
En réponse aux soucis exprimés par le Ministère de l’Energie et du Pétrole «BP a proposé plusieurs solutions techniques basées sur les options les plus efficaces, y compris l’acheminement de matériel spécialisé depuis l’étranger.
Une équipe technique renforcée a été mobilisée, et est arrivée à Nouakchott pour mener des opérations de réparation. Dans ce cadre, un avion Antonov cargo, est arrivé à Nouakchott le 26 février, avec des équipements nécessaires à l’intervention.
Les équipes ont procédé à l’installation des équipements au port de Nouakchott. Ce processus, achevé le 07 février, a permis le départ d’un navire spécialisé transportant l’équipe technique vers la plate forme GTA ».
Dans le même élan, les autorités mauritaniennes et sénégalaises, en étroite collaboration avec BP « assurent un suivi rigoureux de la situation et évaluent en continu l’impact de la fuite. Des échanges d’informations sont réalisés quotidiennement entre les équipes des 2 pays et l’opérateur ».
Par ailleurs « la surveillance de la zone est maintenue grâce à un dispositif combinant des survols d’hélicoptères, des observations par drones et satellites, ainsi que l’utilisation d’un véhicule sous marin téléguidé (ROV).
Une équipe composée de techniciens mauritaniens et sénégalais, accompagnée des représentants de BP, a effectué un survol en hélicoptère de la zone, le jeudi 06 mars, sans observer de résidus à la surface de la mer.
Dans le même temps, les marines nationales assurent une présence continue ».
Synthèse, Amadou Seck
Dès réception de l’alerte, les autorités mauritaniennes ont ordonné la mise en œuvre immédiate des mesures nécessaires pour maitriser la fuite et limiter les impacts.
Les mêmes mesures ont également été exigées de BP, ainsi que des mises à jour régulières sur l’évolution de la situation ».
En réponse aux soucis exprimés par le Ministère de l’Energie et du Pétrole «BP a proposé plusieurs solutions techniques basées sur les options les plus efficaces, y compris l’acheminement de matériel spécialisé depuis l’étranger.
Une équipe technique renforcée a été mobilisée, et est arrivée à Nouakchott pour mener des opérations de réparation. Dans ce cadre, un avion Antonov cargo, est arrivé à Nouakchott le 26 février, avec des équipements nécessaires à l’intervention.
Les équipes ont procédé à l’installation des équipements au port de Nouakchott. Ce processus, achevé le 07 février, a permis le départ d’un navire spécialisé transportant l’équipe technique vers la plate forme GTA ».
Dans le même élan, les autorités mauritaniennes et sénégalaises, en étroite collaboration avec BP « assurent un suivi rigoureux de la situation et évaluent en continu l’impact de la fuite. Des échanges d’informations sont réalisés quotidiennement entre les équipes des 2 pays et l’opérateur ».
Par ailleurs « la surveillance de la zone est maintenue grâce à un dispositif combinant des survols d’hélicoptères, des observations par drones et satellites, ainsi que l’utilisation d’un véhicule sous marin téléguidé (ROV).
Une équipe composée de techniciens mauritaniens et sénégalais, accompagnée des représentants de BP, a effectué un survol en hélicoptère de la zone, le jeudi 06 mars, sans observer de résidus à la surface de la mer.
Dans le même temps, les marines nationales assurent une présence continue ».
Synthèse, Amadou Seck