Indépendance 2023: libération de près de 200 détenus de droit commun
Un groupe de 193 détenus de droit commun, condamnés à titre définitif, ont humé le vent de la liberté, ce mardi 28
novembre 2023, jour de célébration du 63é anniversaire de l’accession à l’indépendance de la République Islamique de
Mauritanie, annonce un décret de la présidence de la République, publié lundi soir.
En accordant la grâce présidentielle à près de 200 condamnés, Mohamed Cheikh El Ghazsouani sacrifie ainsi à une tradition
républicaine, de pardon à l’occasion de la fête nationale.
La mesure présidentielle « réduit d’un an, les peines privatives de liberté prononcées à l’égard de 193 détenus de droit
commun, condamnés à titre définitif.
Sont exclues de la grâce présidentielle, les personnes condamnées pour des infractions liées au meurtre, au terrorisme, au
viol, à la traite des êtres humains et à l’esclavage, au trafic illicite de migrants, à l’incitation à la haine et à la discrimination,
au détournement et à la dilapidation de deniers publics, à la contre façon de monnaie, au transport, à l’importation, à
l’exploitation, à l’achat , à la vente, au courtage ou la contre bande de drogues à hauts risques » annonce le décret
présidentiel ».
Un groupe de 193 détenus de droit commun, condamnés à titre définitif, ont humé le vent de la liberté, ce mardi 28
novembre 2023, jour de célébration du 63é anniversaire de l’accession à l’indépendance de la République Islamique de
Mauritanie, annonce un décret de la présidence de la République, publié lundi soir.
En accordant la grâce présidentielle à près de 200 condamnés, Mohamed Cheikh El Ghazsouani sacrifie ainsi à une tradition
républicaine, de pardon à l’occasion de la fête nationale.
La mesure présidentielle « réduit d’un an, les peines privatives de liberté prononcées à l’égard de 193 détenus de droit
commun, condamnés à titre définitif.
Sont exclues de la grâce présidentielle, les personnes condamnées pour des infractions liées au meurtre, au terrorisme, au
viol, à la traite des êtres humains et à l’esclavage, au trafic illicite de migrants, à l’incitation à la haine et à la discrimination,
au détournement et à la dilapidation de deniers publics, à la contre façon de monnaie, au transport, à l’importation, à
l’exploitation, à l’achat , à la vente, au courtage ou la contre bande de drogues à hauts risques » annonce le décret
présidentiel ».