En effet «un déficit de financement est attendu à fin du mois de janvier 2024 et
entraînera une suspension de l’assistance aux réfugiés maliens du camp de
MBera, jusqu’à ce que des ressources supplémentaires soient reçues ».
Une menace de suspension de l’assistance dans un contexte de hausse« du
nombre de nouveaux arrivants, soit 12.808 en 2023. On estime que 100.000
réfugiés supplémentaires arriveront en Mauritanie et résideront dans la région
du Hodh Oriental au cours des 6 prochains mois.
Cet afflux accentue la pression sur des ressources déjà limitées et fait craindre
des tensions avec les populations d’accueil » explique le document de l’agence
onusienne.
Face à cette situation « le PAM demande des ressources urgentes pour aider les
réfugiés maliens.
Les opérations de L’UNHAS s’arrêtent en janvier 2024 si des ressources
supplémentaires ne sont pas obtenues d’ici là. Le déficit de financement actuel
pour 2024 est de 3,5 millions de dollars ».
entraînera une suspension de l’assistance aux réfugiés maliens du camp de
MBera, jusqu’à ce que des ressources supplémentaires soient reçues ».
Une menace de suspension de l’assistance dans un contexte de hausse« du
nombre de nouveaux arrivants, soit 12.808 en 2023. On estime que 100.000
réfugiés supplémentaires arriveront en Mauritanie et résideront dans la région
du Hodh Oriental au cours des 6 prochains mois.
Cet afflux accentue la pression sur des ressources déjà limitées et fait craindre
des tensions avec les populations d’accueil » explique le document de l’agence
onusienne.
Face à cette situation « le PAM demande des ressources urgentes pour aider les
réfugiés maliens.
Les opérations de L’UNHAS s’arrêtent en janvier 2024 si des ressources
supplémentaires ne sont pas obtenues d’ici là. Le déficit de financement actuel
pour 2024 est de 3,5 millions de dollars ».