
Cet article parait suivant timing d’intérêt croissant pour le pays, considéré désormais comme un pôle énergétique et minier d’avenir, bénéficiant d’un positionnement stratégique, lui permettant de jouer un rôle de premier plan dans le domaine de l’énergie à l’avenir.
Financial Times a mis en avant le potentiel considérable de la Mauritanie en énergies, soulignant le début de production de gaz, les partenariats stratégiques axés sur les projets d’hydrogène vert, ainsi que la découverte de nouvelles réserves de gaz, notamment le champ de BirAllah, situé entièrement dans les eaux maritimes mauritaniennes.
Cet article aborde également les défis liés au développement de ces ressources, notamment la nécessité d’infrastructures adaptées et de mobilisation des investissements pour maximiser les retombées de leur exploitation.
Dans un paragraphe hautement promotionnel pour la Mauritanie, Financial Times affirme que « les investisseurs sont globalement contents de l’approche du gouvernement mauritanien en matière de mobilisation des ressources », tout en saluant les efforts des hauts responsables, qui ont, au cours de l’année dernière, multiplié les participations à des conférences internationales sur l’énergie ».
Le journal cite le ministre de l’Énergie et du Pétrole, M. Mohamed Ould Khaled, qui explique
« La Mauritanie a mis en place d’importantes réformes à travers une législation sur l’investissement, afin d’attirer davantage les capitaux étrangers. Nous avons introduit des facilités et des exonérations fiscales, pour accroître la compétitivité du pays et offrir une meilleure protection aux investisseurs internationaux. »
Dans le même ordre d’idées il faut signaler que « ces réformes visent à positionner la Mauritanie, comme un futur hub régional de l’énergie, notamment dans le domaine des énergies renouvelables et le gaz naturel, en créant un environnement plus sûr, plus protecteur et plus attractif pour les investisseurs étrangers. »
Dans son attaque, Financial Times constater que les découvertes de gaz alimentent les ambitions du pays, en rappelant une réalité historique et géographique, la Mauritanie, qui n’apparaît pas souvent dans l’actualité, est un vaste pays sahélo saharien d’environ cinq millions d’habitants, avec une longue façade atlantique de plus de 700 kilomètres , très peu couvert par les médias.
Une situation qui devrait bientôt changer « grâce aux politiques énergétiques du pays et aux flux de gaz provenant des réserves énormes, lesquelles devraient non seulement stimuler la croissance, mais aussi transformer un pays dont l’économie est historiquement basée sur l’agriculture ».
Cet intérêt croissant des médias internationaux, renforce la position de la Mauritanie sur la scène économique mondiale et ouvre de nouvelles perspectives pour ses partenariats économiques.
Il s’agit d’une tendance hautement positive, qui encourage les investissements étrangers, à l’heure où le pays met en œuvre une politique de diversification économique, basée sur l’exploitation optimale de ses ressources naturelles, notamment le gaz et les énergies renouvelables.
Il faut aussi ajouter que cet intérêt médiatique, s’est aussi récemment manifesté à travers la publication de nombreux articles promotionnels, spécialisés, sous l’impulsion du Ministère de l’Énergie et du Pétrole, en collaboration avec de grands médias internationaux tels que Bloomberg. Ces « numéros spéciaux » ont été élaborés et publiés, en partenariat avec African Business, basée à Londres, et Jeune Afrique, abordant divers sujets liés à la Mauritanie sous l’angle de l’énergie, du gaz et des perspectives prometteuses qu’offre le développement de ces secteurs.
Lien vers le texte original en anglais sur le site du Financial Times, auquel le site a attribué une note « premium » (réservée aux abonnés)
Financial Times a mis en avant le potentiel considérable de la Mauritanie en énergies, soulignant le début de production de gaz, les partenariats stratégiques axés sur les projets d’hydrogène vert, ainsi que la découverte de nouvelles réserves de gaz, notamment le champ de BirAllah, situé entièrement dans les eaux maritimes mauritaniennes.
Cet article aborde également les défis liés au développement de ces ressources, notamment la nécessité d’infrastructures adaptées et de mobilisation des investissements pour maximiser les retombées de leur exploitation.
Dans un paragraphe hautement promotionnel pour la Mauritanie, Financial Times affirme que « les investisseurs sont globalement contents de l’approche du gouvernement mauritanien en matière de mobilisation des ressources », tout en saluant les efforts des hauts responsables, qui ont, au cours de l’année dernière, multiplié les participations à des conférences internationales sur l’énergie ».
Le journal cite le ministre de l’Énergie et du Pétrole, M. Mohamed Ould Khaled, qui explique
« La Mauritanie a mis en place d’importantes réformes à travers une législation sur l’investissement, afin d’attirer davantage les capitaux étrangers. Nous avons introduit des facilités et des exonérations fiscales, pour accroître la compétitivité du pays et offrir une meilleure protection aux investisseurs internationaux. »
Dans le même ordre d’idées il faut signaler que « ces réformes visent à positionner la Mauritanie, comme un futur hub régional de l’énergie, notamment dans le domaine des énergies renouvelables et le gaz naturel, en créant un environnement plus sûr, plus protecteur et plus attractif pour les investisseurs étrangers. »
Dans son attaque, Financial Times constater que les découvertes de gaz alimentent les ambitions du pays, en rappelant une réalité historique et géographique, la Mauritanie, qui n’apparaît pas souvent dans l’actualité, est un vaste pays sahélo saharien d’environ cinq millions d’habitants, avec une longue façade atlantique de plus de 700 kilomètres , très peu couvert par les médias.
Une situation qui devrait bientôt changer « grâce aux politiques énergétiques du pays et aux flux de gaz provenant des réserves énormes, lesquelles devraient non seulement stimuler la croissance, mais aussi transformer un pays dont l’économie est historiquement basée sur l’agriculture ».
Cet intérêt croissant des médias internationaux, renforce la position de la Mauritanie sur la scène économique mondiale et ouvre de nouvelles perspectives pour ses partenariats économiques.
Il s’agit d’une tendance hautement positive, qui encourage les investissements étrangers, à l’heure où le pays met en œuvre une politique de diversification économique, basée sur l’exploitation optimale de ses ressources naturelles, notamment le gaz et les énergies renouvelables.
Il faut aussi ajouter que cet intérêt médiatique, s’est aussi récemment manifesté à travers la publication de nombreux articles promotionnels, spécialisés, sous l’impulsion du Ministère de l’Énergie et du Pétrole, en collaboration avec de grands médias internationaux tels que Bloomberg. Ces « numéros spéciaux » ont été élaborés et publiés, en partenariat avec African Business, basée à Londres, et Jeune Afrique, abordant divers sujets liés à la Mauritanie sous l’angle de l’énergie, du gaz et des perspectives prometteuses qu’offre le développement de ces secteurs.
Lien vers le texte original en anglais sur le site du Financial Times, auquel le site a attribué une note « premium » (réservée aux abonnés)