Sous les effets de la rigueur d’une aventure aux dangers multiples, cinq (5) membres de l’expédition sont morts, avant la dérive et l’échouage de l’embarcation sur les côtes marocaines, épisode venu mettre fin à un début de comptabilité macabre.
Parmi les survivants de l’odyssée, on dénombre 11 jeunes mauritaniens, dont huit (8) ont présenté effectivement des pièces d’identité établissant cette qualité, alors les 3 autres ne disposent pas de ce qui pourrait prendre la forme « d’un précieux sésame » pour sortir du pétrin dans lequel ils se trouvent en ce moment.
Recueillis et pris en charge dans la localité marocaine de Bir Guendouz, ces jeunes en immense détresse, sollicitent les autorités consulaires mauritaniennes pour rentrer au pays.
Parmi eux, des ressortissants de Melga Mauritanie, un village de la wilaya de Selibaby, situé à une soixantaine de kilomètres de la capitale régionale, sur le Karakoro, qui fait face à une autre localité malienne du même nom, mais aussi des jeunes originaires de Kaédi et d’autres localités du pays.
Ne sachant plus ou ils vont, ces désormais ex candidats à l’immigration clandestine, sont déterminés à revenir sur leurs pas, conformément à une maxime de la sagesse wolof, reprise à travers « Wiri, Wiri » une célèbre chanson de la star planétaire, Youssou NDour.
Des engagements pris dans ce sens par les autorités consulaires, tardent à se matérialiser, expliquant le nouvel appel de détresse de ces jeunes, qui ont pour noms : Baydi Demba Bâ, Mamadou Diarra, Yacoub Djibril Sow, Sovi, Yahya Diallo, Mamadou Sikou Diawara, Hamed Boukari, Amadou Harouna Dia et Bocar Amadou Niang.
Parmi les survivants de l’odyssée, on dénombre 11 jeunes mauritaniens, dont huit (8) ont présenté effectivement des pièces d’identité établissant cette qualité, alors les 3 autres ne disposent pas de ce qui pourrait prendre la forme « d’un précieux sésame » pour sortir du pétrin dans lequel ils se trouvent en ce moment.
Recueillis et pris en charge dans la localité marocaine de Bir Guendouz, ces jeunes en immense détresse, sollicitent les autorités consulaires mauritaniennes pour rentrer au pays.
Parmi eux, des ressortissants de Melga Mauritanie, un village de la wilaya de Selibaby, situé à une soixantaine de kilomètres de la capitale régionale, sur le Karakoro, qui fait face à une autre localité malienne du même nom, mais aussi des jeunes originaires de Kaédi et d’autres localités du pays.
Ne sachant plus ou ils vont, ces désormais ex candidats à l’immigration clandestine, sont déterminés à revenir sur leurs pas, conformément à une maxime de la sagesse wolof, reprise à travers « Wiri, Wiri » une célèbre chanson de la star planétaire, Youssou NDour.
Des engagements pris dans ce sens par les autorités consulaires, tardent à se matérialiser, expliquant le nouvel appel de détresse de ces jeunes, qui ont pour noms : Baydi Demba Bâ, Mamadou Diarra, Yacoub Djibril Sow, Sovi, Yahya Diallo, Mamadou Sikou Diawara, Hamed Boukari, Amadou Harouna Dia et Bocar Amadou Niang.