Ce voyage, intervient après le sinistre d’inondations, qui ont touché plusieurs centaines de localités situées sur les bords immédiats du fleuve dans les régions de Rosso, Aleg, Kaédi et Selibaby au cours de l’hivernage 2024.
Un immense désastre, qui a provoqué de nombreux dégâts matériels (destruction d’habitations et de moyens de subsistance), plongeant plusieurs dizaines de milliers de citoyens dans une nouvelle forme de précarité, dans les zones confrontées à une pauvreté endémique aggravée par le problème du changement climatique.
Suite à ces inondations, le commandement de l’administration territoriale, les services décentralisés, les forces armées et de sécurité, ont été mobilisés pour assister les populations en détresse.
Des aides d’urgence du gouvernement, à travers des institutions publiques telles que le Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA), l’agence TAAZOUR, ont été apportées aux sinistrés. Plusieurs délégations ministérielles ont été également dépêchées dans les 4 régions.
Des actions dont l’appréciation fait l’objet de divergences. En effet, certaines voix au sein des communautés touchées et des observateurs, déplorent des actions « pas à la hauteur du désastre et des attentes ».
Le déplacement présidentiel du lundi 25 novembre 2024 permettra-t-il de corriger les manquements ?
Voilà le véritable enjeu de la visite de terrain du chef de l’état.
Un immense désastre, qui a provoqué de nombreux dégâts matériels (destruction d’habitations et de moyens de subsistance), plongeant plusieurs dizaines de milliers de citoyens dans une nouvelle forme de précarité, dans les zones confrontées à une pauvreté endémique aggravée par le problème du changement climatique.
Suite à ces inondations, le commandement de l’administration territoriale, les services décentralisés, les forces armées et de sécurité, ont été mobilisés pour assister les populations en détresse.
Des aides d’urgence du gouvernement, à travers des institutions publiques telles que le Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA), l’agence TAAZOUR, ont été apportées aux sinistrés. Plusieurs délégations ministérielles ont été également dépêchées dans les 4 régions.
Des actions dont l’appréciation fait l’objet de divergences. En effet, certaines voix au sein des communautés touchées et des observateurs, déplorent des actions « pas à la hauteur du désastre et des attentes ».
Le déplacement présidentiel du lundi 25 novembre 2024 permettra-t-il de corriger les manquements ?
Voilà le véritable enjeu de la visite de terrain du chef de l’état.