Une opération dont l’épine dorsale, la source, est l’immense réservoir d’eau situé sur le plateau Shalakht Al-Tayab.
Ce marché a été attribué au Groupement CSE/VAERA-BIS TP, adjudicataire d’un appel d’offres devant 12 concurrents, parmi lesquels une société française et une entreprise sénégalaise.
Suite à une visite de terrain de 2 semaines, un rapport publié par l’ONG « TRANSPARENCY Inclusive » liste les nombreux manquements en termes de qualité et de quantité, dans le cadre de la réalisation du travail. Le document dénonce « une fraude » dont le résultat un accès permanent à l’eau des populations limité « à 8% ».
Des allégations niées par les responsables du consortium CSE/VAERA-Bis TP, issu du groupe Zeine El Abidine, président de l’Union Nationale du Patronat de Mauritanie (UNPM), au cours d’un point de presse organisé mardi soir, dans un réceptif hôtelier de Nouakchott.
Bedou ould Saleck, DG de la société, a d’abord rappelé la transparence des conditions d’attribution du marché, suite à un Appel d’Offre adjugé face à 12 concurrents parmi lesquels des entreprises étrangères.
Ce responsable a par la suite réfuté les accusations de l’ONG « TRANSPARENCY Inclusive » en affirmant que « des infrastructures conformes aux normes exigées ont été mises en place. Le problème plutôt est lié à la non-disponibilité de l’eau et non au caractère défectueux des ouvrages réalisés. On constate simplement l’intermittence dans la distribution du liquide précieux. Le rapport reconnait ce fait, malgré son ton délibérément critique.
Les témoignages des populations bénéficiaires, qui se sont exprimées à travers le film projeté devant vous, attestent d’une exécution normale du marché ».
L’exécution de ce marché, tous la tutelle du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, adjugé en 2016, a fait l’objet de 2 contrats : le premier d’un montant de 4,189 milliards de MRO, avec une exonération fiscale de plus de 953 millions de MRO, et le second d’un montant de plus de 5,53 milliards de MRO, assorti d’une exonération de prés de 1,8 milliards de MRO.
Ce marché a été attribué au Groupement CSE/VAERA-BIS TP, adjudicataire d’un appel d’offres devant 12 concurrents, parmi lesquels une société française et une entreprise sénégalaise.
Suite à une visite de terrain de 2 semaines, un rapport publié par l’ONG « TRANSPARENCY Inclusive » liste les nombreux manquements en termes de qualité et de quantité, dans le cadre de la réalisation du travail. Le document dénonce « une fraude » dont le résultat un accès permanent à l’eau des populations limité « à 8% ».
Des allégations niées par les responsables du consortium CSE/VAERA-Bis TP, issu du groupe Zeine El Abidine, président de l’Union Nationale du Patronat de Mauritanie (UNPM), au cours d’un point de presse organisé mardi soir, dans un réceptif hôtelier de Nouakchott.
Bedou ould Saleck, DG de la société, a d’abord rappelé la transparence des conditions d’attribution du marché, suite à un Appel d’Offre adjugé face à 12 concurrents parmi lesquels des entreprises étrangères.
Ce responsable a par la suite réfuté les accusations de l’ONG « TRANSPARENCY Inclusive » en affirmant que « des infrastructures conformes aux normes exigées ont été mises en place. Le problème plutôt est lié à la non-disponibilité de l’eau et non au caractère défectueux des ouvrages réalisés. On constate simplement l’intermittence dans la distribution du liquide précieux. Le rapport reconnait ce fait, malgré son ton délibérément critique.
Les témoignages des populations bénéficiaires, qui se sont exprimées à travers le film projeté devant vous, attestent d’une exécution normale du marché ».
L’exécution de ce marché, tous la tutelle du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, adjugé en 2016, a fait l’objet de 2 contrats : le premier d’un montant de 4,189 milliards de MRO, avec une exonération fiscale de plus de 953 millions de MRO, et le second d’un montant de plus de 5,53 milliards de MRO, assorti d’une exonération de prés de 1,8 milliards de MRO.