Cependant, au-delà de la coopération bilatérale avec la France et le Japon, on peut noter le timing de cette tournée, dont la toile de fond est la course vers la présidence de la Banque Africaine de Développement (BAD).
Le titulaire de ce poste, très convoité, sera élu le 29 mais prochain, aux cours des assises des Assemblées Générales annuelles de l’institution financière panafricaine, prévue à Abidjan.
Sidi ould Tah, Directeur Général de la Banque Arabe pour le Développement Economique de l’Afrique (BADEA), est le candidat de la Mauritanie à la présidence de la BAD.
Les autres prétendants sur la ligne de départ sont Amadou Hott (Sénégal), le Dr Maimbo Samuel Munzélé (Zambie), Tolli Abbas Mahamat (Tchad) et Madame Tshabalala Bajabulilé Swazi (Afrique du Sud).
Le capital de la Banque Africaine de Développement (BAD) est détenu par les états africains (régionaux/58,77%) et hors du continent (non régionaux/41,23%).
Le Japon détient 5,44% des parts. La France un palier en dessous.
Cependant, tous ces 2 pays ont une réelle influence liée à la capacité de mobilisation des ressources au profit de l’institution.
Le titulaire de ce poste, très convoité, sera élu le 29 mais prochain, aux cours des assises des Assemblées Générales annuelles de l’institution financière panafricaine, prévue à Abidjan.
Sidi ould Tah, Directeur Général de la Banque Arabe pour le Développement Economique de l’Afrique (BADEA), est le candidat de la Mauritanie à la présidence de la BAD.
Les autres prétendants sur la ligne de départ sont Amadou Hott (Sénégal), le Dr Maimbo Samuel Munzélé (Zambie), Tolli Abbas Mahamat (Tchad) et Madame Tshabalala Bajabulilé Swazi (Afrique du Sud).
Le capital de la Banque Africaine de Développement (BAD) est détenu par les états africains (régionaux/58,77%) et hors du continent (non régionaux/41,23%).
Le Japon détient 5,44% des parts. La France un palier en dessous.
Cependant, tous ces 2 pays ont une réelle influence liée à la capacité de mobilisation des ressources au profit de l’institution.