Attaché au principe de cette concertation, le député Biram Dah Abeid, leader de l’Initiative de Résurgence du Mouvement Abolitionniste (IRA), qui séjourne actuellement à Dakar, réagit à la rencontre et formule d’importantes importantes réserves par rapport à la réalité actuelle.
En effet, le député abolitionniste estime que dans « le cas de la Mauritanie, la gouvernance n’offre pas les garanties minimales de transparence et de gestion vertueuse. Les niveaux vertigineux de corruption et d’impunité, que tolère le pouvoir du moment, jette un discrédit empirique, sur ses intentions et son discours ».
Pour illustrer des cas de mauvaise gouvernance, le document de BDA convoque « les gâchis du port de NDiago, les dernières révélations au sujet d’un détournement d’un concours financier de l’Agence Française de Développement (AFD-22 millions d’euros selon la presse) » qui témoignent d’une pratique aux antipodes des discours.
Ainsi, le premier dialogue « garant de l’équité, de la stabilité et la paix, doit être interne, pour permettre aux mauritaniens de discuter d’un avenir commun, décider ensemble.
Il passe par la reconnaissance des partis et associations, injustement maintenus hors de la sphère de la légalité par l’administration ».
Ces conditions sont nécessaires au crédit d’un dialogue avec l’Union Européenne, dans l’objectif de la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit, mais aussi pour « stopper l’invasion migratoire du Sud vers le Nord, résultat de l’échec des élites du continent ».
Une situation de misère, qui offre un terreau fertile « à la désinformation, au populisme et à l’insurrection » et finit par déboucher sur des changements anti constitutionnels et de nouvelles dictatures militaires, supprimant tous les espaces de liberté.
En effet, le député abolitionniste estime que dans « le cas de la Mauritanie, la gouvernance n’offre pas les garanties minimales de transparence et de gestion vertueuse. Les niveaux vertigineux de corruption et d’impunité, que tolère le pouvoir du moment, jette un discrédit empirique, sur ses intentions et son discours ».
Pour illustrer des cas de mauvaise gouvernance, le document de BDA convoque « les gâchis du port de NDiago, les dernières révélations au sujet d’un détournement d’un concours financier de l’Agence Française de Développement (AFD-22 millions d’euros selon la presse) » qui témoignent d’une pratique aux antipodes des discours.
Ainsi, le premier dialogue « garant de l’équité, de la stabilité et la paix, doit être interne, pour permettre aux mauritaniens de discuter d’un avenir commun, décider ensemble.
Il passe par la reconnaissance des partis et associations, injustement maintenus hors de la sphère de la légalité par l’administration ».
Ces conditions sont nécessaires au crédit d’un dialogue avec l’Union Européenne, dans l’objectif de la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit, mais aussi pour « stopper l’invasion migratoire du Sud vers le Nord, résultat de l’échec des élites du continent ».
Une situation de misère, qui offre un terreau fertile « à la désinformation, au populisme et à l’insurrection » et finit par déboucher sur des changements anti constitutionnels et de nouvelles dictatures militaires, supprimant tous les espaces de liberté.