
Dans un discours prononcé devant une assistance composée de la crème de la classe politique, le chef de l’état a déclaré « je suis ferment convaincu que la concertation et le dialogue, constituent le meilleur moyen de gérer les affaires publiques et de traiter les grandes questions nationales ».
Elu pour un deuxième et dernier mandat de 5 ans, depuis 9 mois, Ghazouani, a exprimé « son aspiration aujourd’hui, à organiser un dialogue global, qui serve les citoyens et réalise l’intérêt suprême du pays, permette de résoudre définitivement les questions fondamentales qui restent en suspens, bien qu’elles aient été discutées à l’occasion des dialogues précédents, et en dépit des efforts déployés pour les résoudre ».
Après un tel exposé, on s’interroge sur « les questions fondamentales » aux quelles fait allusion le discours du président de la République : le passif humanitaire ? La question sociale de l’esclavage ou ses séquelles ? La cohabitation communautaire ? La situation d’une école à l’agonie ? La mal gouvernance endémique et la corruption ? Le vieux problème d’une justice sous forte influence de l’exécutif ? Le problème récurrent de l’organisation d’élections libres, démocratiques et transparentes, permettant une véritable alternance entre les chapelles politiques et la respiration du système pluraliste ?
Elu pour un deuxième et dernier mandat de 5 ans, depuis 9 mois, Ghazouani, a exprimé « son aspiration aujourd’hui, à organiser un dialogue global, qui serve les citoyens et réalise l’intérêt suprême du pays, permette de résoudre définitivement les questions fondamentales qui restent en suspens, bien qu’elles aient été discutées à l’occasion des dialogues précédents, et en dépit des efforts déployés pour les résoudre ».
Après un tel exposé, on s’interroge sur « les questions fondamentales » aux quelles fait allusion le discours du président de la République : le passif humanitaire ? La question sociale de l’esclavage ou ses séquelles ? La cohabitation communautaire ? La situation d’une école à l’agonie ? La mal gouvernance endémique et la corruption ? Le vieux problème d’une justice sous forte influence de l’exécutif ? Le problème récurrent de l’organisation d’élections libres, démocratiques et transparentes, permettant une véritable alternance entre les chapelles politiques et la respiration du système pluraliste ?