Cette annonce intervient moins de 5 heures d’horloge, après la démission du gouvernement de Mohamed ould Bilal.
Moctar ould Diaye était jusqu’à sa nomination à la tête du gouvernement, Ministre, Directeur de Cabinet du président de la République, un statut taillé sur mesure, totalement nouveau dans l’architecture administrative de la maison.
Spécialiste des statistiques, Moctar ould Diaye est passé par plusieurs stations prestigieuses : Directeur Général des Impôts, Ministre des Finances, Ministres des Affaires Economiques et du Développement, Administrateur, Directeur Général de la Société Nationale Industrielle et Minière (SNIM).
Ainsi, son arrivée à la primature apparait comme la conséquence d’une carrière administrative et politique qui a pris le cheminement d’un long fleuve tranquille.
Moctar ould Diaye va faire face à un énorme challenge : assurer la coordination de l’action d’un gouvernement appelé à affronter un chantier sous forme de véritables travaux d’Hercules : la lutte contre la bombe à retardement du chômage des jeunes, qui fuient vers le mirage américain et européen, l’éradication de la corruption et de la mauvaise gouvernance, décliné dans le discours d’investiture du président Mohamed Cheikh El Ghazouani.
Moctar ould Diaye était jusqu’à sa nomination à la tête du gouvernement, Ministre, Directeur de Cabinet du président de la République, un statut taillé sur mesure, totalement nouveau dans l’architecture administrative de la maison.
Spécialiste des statistiques, Moctar ould Diaye est passé par plusieurs stations prestigieuses : Directeur Général des Impôts, Ministre des Finances, Ministres des Affaires Economiques et du Développement, Administrateur, Directeur Général de la Société Nationale Industrielle et Minière (SNIM).
Ainsi, son arrivée à la primature apparait comme la conséquence d’une carrière administrative et politique qui a pris le cheminement d’un long fleuve tranquille.
Moctar ould Diaye va faire face à un énorme challenge : assurer la coordination de l’action d’un gouvernement appelé à affronter un chantier sous forme de véritables travaux d’Hercules : la lutte contre la bombe à retardement du chômage des jeunes, qui fuient vers le mirage américain et européen, l’éradication de la corruption et de la mauvaise gouvernance, décliné dans le discours d’investiture du président Mohamed Cheikh El Ghazouani.