Face à cette grande peur, qui oblige de plus en plus les enfants mauritaniens à migrer vers les pays voisins, notamment le Sénégal, pour échapper à l’éducation jugée « au rabais » de l’école républicaine, le syndicat de l’enseignement privé et les parents d’élèves se mobilisent pour dire non.
C’est dans cet esprit que la corporation regroupant les acteurs de l’enseignement privé a lancé un mot d’ordre de grève, pour une journée sans école, le mercredi dernier. Celle-ci a été largement suivie grâce au soutien des parents d’élèves, fortement mobilisés en faveur de la cause de leurs enfants.
Pour meubler la journée et attirer l’attention des autorités, le syndicat de l’enseignement privé a également organisé un sit-in à la place de la liberté, située entre la présidence de la République et l’Assemblée Nationale, rapidement dispersé par les forces de police déployées sur les lieux. Une dispersion suivie d’une course poursuite entre policiers et manifestants dans les ruelles adjacentes du centre ville de Nouakchott.
C’est dans cet esprit que la corporation regroupant les acteurs de l’enseignement privé a lancé un mot d’ordre de grève, pour une journée sans école, le mercredi dernier. Celle-ci a été largement suivie grâce au soutien des parents d’élèves, fortement mobilisés en faveur de la cause de leurs enfants.
Pour meubler la journée et attirer l’attention des autorités, le syndicat de l’enseignement privé a également organisé un sit-in à la place de la liberté, située entre la présidence de la République et l’Assemblée Nationale, rapidement dispersé par les forces de police déployées sur les lieux. Une dispersion suivie d’une course poursuite entre policiers et manifestants dans les ruelles adjacentes du centre ville de Nouakchott.