La mise en œuvre de celle-ci devrait s’étaler sur la période 2024/2028.
C’est dans cette perspective qu’un atelier réunissant tous les acteurs et partenaires de la mise en œuvre du projet est organisé dans un réceptif hôtelier de Nouakchott, le jeudi 25 et le vendredi 26 janvier 2024.
Une rencontre impliquant les professionnels de santé de toutes les régions accueillant le projet, les acteurs des ONG, les partenaires techniques et financiers, avec un objectif «renforcement de la chaîne de la transfusion sanguine en Mauritanie, grâce au recrutement et à la fidélisation des donneurs de sang anonymes, volontaires et bénévoles, seule méthode pour maintenir le stock de produits sanguins distribuables à un niveau optimal.
Cette stratégie et les activités de promotion proposées seront mises en œuvre et intégrées dans la politique nationale de santé et plus spécifiquement dans la gestion nationale de la transfusion sanguine » explique un communiqué remis à la presse lors de la première journée des travaux.
Le Projet « TEMEYOUZ » est bâti autour de deux (2) composantes : la composante 1, mise en œuvre par un consortium d’ONG « visait à améliorer l’offre de soins primaires mères et enfants dans l’assaba, le Guidimakha et le Hodh El Gharbi, a pris fin le 31 mai 2023.
La composante 2 poursuit l’objectif de contribuer durablement au renforcement du système de santé en Mauritanie, à travers un premier axe portant sur l’amélioration de la formation des sages femmes et l’appui à l’Ecole Nationale des Sciences Supérieures (ENSS)et l’Ecole de Santé Publique (ESP) de Kiffa.
Un second axe portant sur la disponibilité des produits sanguins de qualité via l’appui au Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) de l’Assaba, basé à Kiffa ».
Les participants à l’atelier du 25 et 26 janvier échangent sur des axes concernant « les politiques et réglementations en matière de don de sang, les moyens techniques et financiers, l’aspect socio culturel, la dimension liée à la technologie, les orientations stratégiques pour améliorer le taux de recrutement des volontaires, la fidélisation des donneurs de sang anonyme, la sensibilisation des populations sur l’importance du don de sang, l’élaboration des messages adaptés à l’attention des donneurs de sang…. ».
En Mauritanie, les caractéristiques démographiques constituent un défi pour l’accès des populations à la santé.
En effet, avec 454 décès pour 100.000 naissances, le taux de mortalité maternelle reste élevé et loin de la cible des 70 décès, fixée par les Objectifs de Développement Durable (ODD).
AS
C’est dans cette perspective qu’un atelier réunissant tous les acteurs et partenaires de la mise en œuvre du projet est organisé dans un réceptif hôtelier de Nouakchott, le jeudi 25 et le vendredi 26 janvier 2024.
Une rencontre impliquant les professionnels de santé de toutes les régions accueillant le projet, les acteurs des ONG, les partenaires techniques et financiers, avec un objectif «renforcement de la chaîne de la transfusion sanguine en Mauritanie, grâce au recrutement et à la fidélisation des donneurs de sang anonymes, volontaires et bénévoles, seule méthode pour maintenir le stock de produits sanguins distribuables à un niveau optimal.
Cette stratégie et les activités de promotion proposées seront mises en œuvre et intégrées dans la politique nationale de santé et plus spécifiquement dans la gestion nationale de la transfusion sanguine » explique un communiqué remis à la presse lors de la première journée des travaux.
Le Projet « TEMEYOUZ » est bâti autour de deux (2) composantes : la composante 1, mise en œuvre par un consortium d’ONG « visait à améliorer l’offre de soins primaires mères et enfants dans l’assaba, le Guidimakha et le Hodh El Gharbi, a pris fin le 31 mai 2023.
La composante 2 poursuit l’objectif de contribuer durablement au renforcement du système de santé en Mauritanie, à travers un premier axe portant sur l’amélioration de la formation des sages femmes et l’appui à l’Ecole Nationale des Sciences Supérieures (ENSS)et l’Ecole de Santé Publique (ESP) de Kiffa.
Un second axe portant sur la disponibilité des produits sanguins de qualité via l’appui au Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) de l’Assaba, basé à Kiffa ».
Les participants à l’atelier du 25 et 26 janvier échangent sur des axes concernant « les politiques et réglementations en matière de don de sang, les moyens techniques et financiers, l’aspect socio culturel, la dimension liée à la technologie, les orientations stratégiques pour améliorer le taux de recrutement des volontaires, la fidélisation des donneurs de sang anonyme, la sensibilisation des populations sur l’importance du don de sang, l’élaboration des messages adaptés à l’attention des donneurs de sang…. ».
En Mauritanie, les caractéristiques démographiques constituent un défi pour l’accès des populations à la santé.
En effet, avec 454 décès pour 100.000 naissances, le taux de mortalité maternelle reste élevé et loin de la cible des 70 décès, fixée par les Objectifs de Développement Durable (ODD).
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