Ce périple au pas de charge, est mené sous la forte pression d’une urgence, relative à la poussée des migrants subsahariens, dont le nombre d’arrivée dans l’archipel des Canaries, géographiquement proche de la Mauritanie, a atteint 31.155 à la date du 15 août 2024, soit une croissance exponentielle de plus de 66%, comparativement à la même date en 2023.
La lutte contre ce phénomène apparait comme l’unique enjeu de ce voyage, le royaume d’Espagne constituant la ligne de front d’une Union Européenne (UE) qui se barricade et verrouille ses frontières, faisant de l’immigration une question géopolitique capitale.
La visite permettra à Pedro Sanchez de rencontrer les chefs d’états de Mauritanie, du Sénégal et de Gambie.
Ainsi, « il va discuter avec les dirigeants des pays visités, des mesures à prendre, pour renforcer la coopération dans le cadre de la lutte contre l’immigration irrégulière et mieux gérer ce phénomène » selon la presse ibérique.
Nouakchott et l’Union Européenne (UE) sont liées par un accord de partenariat controversé, sur la lutte contre la migration illégale, qui prévoit le retour des mauritaniens sans papiers.
En contre partie, Nouakchott devrait recevoir une aide de 500 millions d’euros.
Dans son timing, la visite du premier Ministre espagnole intervient alors que l’armée sénégalaise mène une vaste opération de ratissage « Jokko » contre l’immigration irrégulière.
La lutte contre ce phénomène apparait comme l’unique enjeu de ce voyage, le royaume d’Espagne constituant la ligne de front d’une Union Européenne (UE) qui se barricade et verrouille ses frontières, faisant de l’immigration une question géopolitique capitale.
La visite permettra à Pedro Sanchez de rencontrer les chefs d’états de Mauritanie, du Sénégal et de Gambie.
Ainsi, « il va discuter avec les dirigeants des pays visités, des mesures à prendre, pour renforcer la coopération dans le cadre de la lutte contre l’immigration irrégulière et mieux gérer ce phénomène » selon la presse ibérique.
Nouakchott et l’Union Européenne (UE) sont liées par un accord de partenariat controversé, sur la lutte contre la migration illégale, qui prévoit le retour des mauritaniens sans papiers.
En contre partie, Nouakchott devrait recevoir une aide de 500 millions d’euros.
Dans son timing, la visite du premier Ministre espagnole intervient alors que l’armée sénégalaise mène une vaste opération de ratissage « Jokko » contre l’immigration irrégulière.