Mais au-delà du diagnostic officiel, des employés de la boite ayant requis l’anonymat, dénoncent certaines pratiques de gestion, en plus des difficultés liées à l’exploitation.
Suivant le diagnostic du Conseil d’Administration de l’entreprise publique, dont le tour de table est constitué par la Société Mauritanienne de Commercialisation de Poissons (SMCP), le Port Autonome de Nouadhibou (PAN) et l’Etat de Mauritanie, cette situation est causée par « Des difficultés structurelles » notamment des pertes chiffrés détaillées, liées à l’exploitation.
En plus de ces raisons, ces employés déplorent « des recrutements massifs, en dehors de critères objectifs, au profit d’un personnel sans rendement pour le travail, avec de gros salaires et des cas de surfacturation et autres abus, avec des conséquences graves ».
Une bamboula, qui aurait ainsi contribué largement, à la dégradation des comptes de l’entreprise, en plus des autres problèmes, évoqués à travers le document de diagnostic du Conseil d’Administration, établi à l’occasion d’une session tenue fin 2024.
Ce diagnostic des administrateurs, ajouté aux faits de gouvernance dénoncés par une partie des employés, donnent une idée, des goulots qui étranglent qui plombent le fonctionnement de l’entreprise navale dont la création, il y a une décennie, avait suscité de gros espoirs.
Suivant le diagnostic du Conseil d’Administration de l’entreprise publique, dont le tour de table est constitué par la Société Mauritanienne de Commercialisation de Poissons (SMCP), le Port Autonome de Nouadhibou (PAN) et l’Etat de Mauritanie, cette situation est causée par « Des difficultés structurelles » notamment des pertes chiffrés détaillées, liées à l’exploitation.
En plus de ces raisons, ces employés déplorent « des recrutements massifs, en dehors de critères objectifs, au profit d’un personnel sans rendement pour le travail, avec de gros salaires et des cas de surfacturation et autres abus, avec des conséquences graves ».
Une bamboula, qui aurait ainsi contribué largement, à la dégradation des comptes de l’entreprise, en plus des autres problèmes, évoqués à travers le document de diagnostic du Conseil d’Administration, établi à l’occasion d’une session tenue fin 2024.
Ce diagnostic des administrateurs, ajouté aux faits de gouvernance dénoncés par une partie des employés, donnent une idée, des goulots qui étranglent qui plombent le fonctionnement de l’entreprise navale dont la création, il y a une décennie, avait suscité de gros espoirs.