Ces revendications portent sur « l’application immédiate d’une augmentation de 2000 MRU, accordée par le président de la République depuis 2023, qui n’a toujours pas été prise en compte dans la rémunération.
Le rétablissement des avantages sociaux : notamment les primes, le restaurant de l’entreprise, l’assurance maladie, la prise en charge du pèlerinage (hadj), l’annulation des décisions injustifiées du Directeur Général, portant sur la réduction arbitraire de 50% des salaires de certains collègues, des licenciements abusifs en violation des procédures, au préjudice d’un certain nombre de collègues ».
Des mesures dénoncées par le collectif des travailleurs comme « une atteinte à la dignité, à la stabilité financière et une atteinte aux conditions de travail ».
Au-delà de ces revendications « ces travailleurs restent ouverts au dialogue, dans un esprit constructif, dans l’espoir que leurs doléances seront entendues et prises en considération dans les plus brefs délais ».
Le rétablissement des avantages sociaux : notamment les primes, le restaurant de l’entreprise, l’assurance maladie, la prise en charge du pèlerinage (hadj), l’annulation des décisions injustifiées du Directeur Général, portant sur la réduction arbitraire de 50% des salaires de certains collègues, des licenciements abusifs en violation des procédures, au préjudice d’un certain nombre de collègues ».
Des mesures dénoncées par le collectif des travailleurs comme « une atteinte à la dignité, à la stabilité financière et une atteinte aux conditions de travail ».
Au-delà de ces revendications « ces travailleurs restent ouverts au dialogue, dans un esprit constructif, dans l’espoir que leurs doléances seront entendues et prises en considération dans les plus brefs délais ».